C’est mon dernier camembert... Je ne me suis pas enrichie en devant sénatrice, sauf en matière vestimentaire : j’avoue j’ai maintenant des habits « du dimanche » jusqu’à la fin de ma vie, compte tenu de ma propension à garder les habits et à les repriser... si je ne reprends pas dans ma nouvelle vie les 12 kilos que j’ai perdus et qui ont obligé ma couturière à reprendre tous les premières jupes qu’elle m’avaient faites !
La cagnotte que j’ai réussi, tant bien que mal à épargner a servi comme prime de licenciement pour mes trois collaborateurs.