Grâce à Kurt SCHAECHTER, une seule facture a été retrouvée, car les autres ont été détruites, ou aurait dû l’être, comme le prouve le document ci-joint.
Il est remarquable d’ailleurs que la République restaurée n’ait même pas exigé les preuves de ces voyages « en troisième classe », en violation des règles de la comptabilité publique.
Quant au caractère volontaire, avant même l’invasion de la zone dite libre, c’est, indirectement, dans un document trouvé par Serge Klarsefld que ’on apprend l’accord de de la SCNF.
Tant mieux pour la SNCF si elle trouve des preuves qui contredisent nos preuves..
Au fait, aujourd’hui 12 juin, il fait 32 degré sur Paris.
Je reprends le train RER D depuis Paris jusqu’à Melun...
Il fait une chaleur monstre, pourtant les fenêtres sont ouvertes....
Et je me mets à pleurer quand j’entends des franciliens se plaindrent, avec raison, de la chaleur... j’avais envie de hurler : « et les enfants habillés comme des petits prince, partis pour Pitchipoï, ils avaient plus chauds que vous ! »