J’ai eu l’occasion de rencontrer le pasteur de l’église protestante des malgaches installés à Paris dans le cadre de procédures de régularisation de certains de ses membres.
J’avais aussi eu l’occasion d’écouter leurs jeunes lorsque Maïeul faisait ses études théologiques à l’institut de protestant de théologie où ils étaient venus animer une cérémonie de fin d’année.
Il convient de rappeler que les Malgaches sont très proches de nous par l’histoire, ancien territoire de la République, ils ont eu leur représentant au Sénat ;
C’est peut-être pour cela que les Français célibataires aiment bien aller chercher leurs femmes à « Madame GASPAR », vieux fantasme colonial qui se traduisait dans mon cabinet par de nombreux mariages « rouges » : réduction en esclavage des femmes malgaches avec chantage à la clef « si tu ne veux plus vivre avec moi, tu n’auras plus de titre de séjour »...
Ce marché aux femmes est d’autant plus facile que [la pauvreté de l’Ile est endémique, le pays le plus pauvre de la planète, sans doute liée à l’instabilité politique.
Nous avons ainsi discuté autour d’un verre sur l’avenir démocratique de Madagascar, discussion fort animée :-)
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